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Stéphane Gibout
2020
Didier Haillot
SIQINIQ4 : Développement de serres horticoles au Nunavik => Aspects énergétiques
Energies renouvelable
Efficacité énergétique
Développement communautaire durable
Approvisionnement local
Agriculture circumpolaire
Vivant sur des territoires isolés où aucune route terrestre ne permet de se rendre, les Inuits du Nord canadien font face, depuis les dernières décennies, à de grands défis d’adaptation, notamment sur le plan de l'accès à l'énergie. Étant hors réseaux électriques, les communautés sont extrêmement dépendantes des produits pétroliers pour leur production électrique et thermique provenant, respectivement, de génératrices diesel et de la combustion du mazout.
L'implantation de moyen de production énergétique renouvelable constitue une alternative afin de produire de l’énergie « propre » réduisant ainsi le recours aux énergies fossiles. Cependant, avant d’envisager le recours à ces sources d’énergie coûteuses en investissement, une phase d’optimisation énergétique est nécessaire afin de réduire les consommations.
Le projet SIQINIQ4 est porté par le laboratoire LaTEP de Pau en collaboration avec l’ÉTS de Montréal et l’INRS de Québec. Il s'agit de la suite des projets SEQINEQ, SEQINEQ’, SEQINEQ2 et SIQINIQ3* dont les perspectives particulièrement importantes concernant la serriculture ont entraîné une focalisation des recherches sur ce sujet. Ces travaux cadrent avec la programmation de la Chaire de recherche sur le potentiel géothermique du Nord à l’INRS et soutenue par l’Institut nordique du Québec (INQ). Les travaux proposés à l’OHMI sont aussi complémentaires à différents projets de l’INRS pour évaluer le potentiel géothermique des territoires nordiques et financés par le Fonds Nouvelles Frontière en recherche et INQ-Sentinelle Nord.
Stéphane Gibout
2019
Jasmin Raymond
SIQINIQ3 : Développement de serres horticoles au Nunavik => Aspects énergétiques
Energies renouvelables
Efficacité énergétique
Développement communautaire durable
Approvisionnement local
Agriculture circumpolaire Géographie
Vivant sur des territoires isolés où aucune route terrestre ne permet de se rendre, les Inuit du Nord canadien font face, depuis les dernières décennies, à de grands défis d’adaptation, notamment sur le plan de l'accès à l'énergie. Étant hors réseaux électriques, les communautés sont extrêmement dépendantes des produits pétroliers pour leur production électrique et thermique provenant, respectivement, de génératrices diesel et de la combustion du mazout.
L'implantation de moyen de production énergétique renouvelable constitue une alternative afin de produire de l’énergie « propre » réduisant ainsi le recours aux énergies fossiles. Cependant, avant d’envisager le recours à ces sources d’énergie coûteuses en investissement, une phase d’optimisation énergétique est nécessaire afin de réduire les consommations.
Le projet SIQINIQ3* est porté par quatre institutions, deux françaises (le laboratoire LaTEP de Pau et le laboratoire PROMES de Perpignan) et deux Québécoises (l’INRS à Québec et l'ÉTS de Montréal). Il s'agit de la suite des projets SEQINEQ, SEQINEQ’ et SEQINEQ2 dont les perspectives particulièrement importantes concernant la serriculture ont entrainé une focalisation des recherches sur ce sujet. Ces travaux cadrent avec la programmation de la Chaire de recherche sur le potentiel géothermique du Nord à l’INRS et soutenue par l’Institut nordique du Québec.
SIQINIQ3 repose sur trois principaux axes de recherche, soit : (1) la mise au point d’une instrumentation spécifique ; (2) le développement d’un modèle numérique ; (3) le partage des connaissances et des données.
(*) Le nom du projet a évolué de SEQINEQ à SIQINIQ par respect pour l'Inuktitut.
Didier Haillot
2018
Jasmin Raymond
SEQINEQ^2 : Développement de serres horticoles au Nunavik => Aspects énergétiques
Energies renouvelables
Efficacité énergétique
Développement communautaire durable
Approvisionnement local
Agriculture circumpolaire
Géographie
Vivant sur des territoires isolés où aucune route terrestre ne permet de se rendre, les Inuit du Nord canadien font face, depuis les dernières décennies, à de grands défis d’adaptation, notamment sur le plan de l'accès à l'énergie. Étant hors réseaux électriques, les communautés sont extrêmement dépendantes des produits pétroliers pour leur production électrique et thermique provenant, respectivement, de génératrices diesel et de la combustion du mazout.
L'implantation de moyen de production énergétique renouvelable constitue une alternative afin de produire de l’énergie « propre » réduisant ainsi le recours aux énergies fossiles. Cependant, avant d’envisager le recours à ces sources d’énergie coûteuses en investissement, une phase d’optimisation énergétique est nécessaire afin de réduire les consommations.
Le projet SEQINEQ2 est porté par quatre institutions, deux françaises (le laboratoire LaTEP de Pau et le laboratoire PROMES de Perpignan) et deux Québécoises (l’INRS à Québec et l'ETS de Montréal). Il s'agit de la suite des projets SEQINEQ et SEQINEQ’ dont les perspectives de recherches sont particulièrement importantes notamment en ce qui concerne l’étude de cas : la serriculture au Nunavik. Les travaux proposés sont aussi aussi une suite logique de l’APR géothermie et cadrent avec la programmation de la Chaire de recherche sur le potentiel géothermique du Nord à l’INRS et soutenue par l’Institut nordique du Québec.
SEQINEQ2 repose sur trois principaux axes de recherche, soit : (1) la mise au point d’une instrumentation spécifique ; (2) le développement d’un modèle numérique ; (3) le partage des données.
Didier Haillot
2017
Daniel Rousse
SEQINEQ' : Comment réduire la dépendance aux énergies fossiles des communautés inuit au Nunavik
Energies renouvelable
Efficacité énergétique
Développement communautaire durable
Approvisionnement local
Agriculture circumpolaire
Géographie
Vivant sur des territoires isolés où aucune route terrestre ne permet de se rendre, les Inuit du Nord canadien font face, depuis les dernières décennies, à de grands défis d’adaptation, notamment sur le plan de l'accès à l'énergie. Étant hors réseaux électriques, les communautés sont extrêmement dépendantes des produits pétroliers pour leur production électrique et thermique provenant, respectivement, de génératrices diesel et de la combustion du mazout.
L'implantation de moyen de production énergétique renouvelable constitue une alternative afin de produire de l’énergie « propre » réduisant ainsi le recours aux énergies fossiles. Cependant, avant d’envisager le recours à ces sources d’énergie, coûteuses en investissement, une phase d’optimisation énergétique est nécessaire afin de réduire les consommations.
Le projet SEQINEQ' est porté par trois institutions, deux françaises (le laboratoire LaTEP de Pau et le laboratoire PROMES de Perpignan) et une Québécoise (l'ETS de Montréal). Il s'agit de la suite de l'APR SEQINEQ dont les perspectives de recherches sont particulièrement importantes. Le projet repose sur quatre principaux axes de recherche, soit: (1) évaluation et caractérisation des besoins énergétiques des communautés; (2) perspectives de réduction des consommations; (3) potentiel de la ressource solaire pour l'électricité et le chauffage; puis (4) étude de cas sur les serres communautaires.
La population et les institutions locales seront fortement impliquées dans ce projet qui vise à mettre en place, à long terme, des moyens de production d’énergie locaux, maitrisés et compris par les populations, durables, respectueux de l’environnement et de ces habitants. Des collaborations avec d'autres programmes de recherche seront aussi envisagées.
Véronique Coxam
2016
Thora Martina HERRMANN
Pirursiaq (Plante/fleur cultivée) En quoi la valorisation des ressources botaniques locales dans les projets horticoles et les cultures hydroponiques peuvent-elles améliorer la sécurité alimentaire, l’autonomie et le bien-être des Inuits
Agriculture circumpolaire
Serres nordiques
Culture hydroponique
Permaculture
Ethnobotanique/ressources naturelles locales (inventaire botanique)
Approvisionnement local
Développement communautaire durable
Sécurité alimentaire
Santé
Education nutritionnelle
Relations Homme-milieu
Face aux grands défis de la sécurité alimentaire dans les villages du Nunavik, le développement d’une agriculture nordique est envisagé comme une solution innovante. Visant la santé et le bien-être des communautés inuit, l'implantation d'une serre communautaire permet d’accroître l’offre en produits frais locaux et d’améliorer la qualité de l’alimentation, dans une démarche durable intégrant l’éducation des jeunes, la réinsertion sociale, la réappropriation des savoirs culinaires ancestraux et de la collaboration avec les programmes existants en santé communautaire. Ce projet repose sur trois principaux axes de recherche, soit (1) les défis techniques et organisationnels à relever pour l’optimisation d’une serre en contexte nordique (2) un volet ethnobotanique s’intéressant aux relations homme-plante et à la possibilité de cultiver et valoriser des plantes du terroir dans les serres et (3) la contribution d’un projet de serre à la sécurité et l’autonomie alimentaire et au bien-être.
La démarche employée dans ce projet interdisciplinaire permet de co-construire, avec la population locale, un système d’approvisionnement local et durable et de comprendre la contribution d’un projet horticole à l’amélioration de la qualité de vie et de la santé de la population du Nunavik.
Didier Haillot
2016
Daniel Rousse
SEQINEQ : Comment réduire la dépendance aux énergies fossiles des communautés inuit au Nunavik ?
Energie renouvelable
Efficacité énergétique
Développement communautaire durable
Approvisionnement local
Agriculture circumpolaire
Géographie
Vivant sur des territoires isolés où aucune route terrestre ne permet de se rendre, les Inuit du nord canadien font face, depuis les dernières décennies, à de grands défis d’adaptation, notamment sur le plan de l'accès à l'énergie. Étant hors réseaux électriques, les communautés sont extrêmement dépendantes des produits pétroliers pour leur production électrique et thermique provenant, respectivement, de génératrices diesel et de la combustion du mazout.
L'implantation de moyen de production énergétique renouvelable (solaire, éolien, hydro, biomasse…) constitue une alternative afin de produire de l’énergie « propre » réduisant ainsi le recours aux énergies fossiles. Cependant, avant d’envisager le recours à ces sources d’énergies, coûteuses en investissement, une phase d’optimisation énergétique est nécessaire afin de réduire les consommations.
Le projet SEQINEQ est porté par trois institutions, deux françaises (le laboratoire LaTEP de Pau et le laboratoire PROMES de Perpignan) et une Québécoise (l'ETS de Montréal). Il repose sur quatre principaux axes de recherche, soit: (1) évaluation et caractérisation des besoins énergétiques des communautés; (2) perspectives de réduction des consommations; (3) scénario d'implantation des énergies renouvelables au Nunavik; puis (4) étude de cas sur les serres communautaires, en partenariat avec le projet PIRURSIAQ "plante ou fleur cultivée".
La population et les institutions locales seront fortement impliquées dans ce projet qui vise à mettre en place, à long terme, des moyens de production d’énergie locaux, maitrisés et compris par les populations, durables, respectueux de l’environnement et de ces habitants.
Yohann Wittrant
2014
Ellen Avard
Piruqsaivik Kangiqsujuaqmi, Projet de serre de Kangiqsujuaq - Comment un projet de serre peut-il contribuer à sécuriser l'alimentation (autosuffisance et qualité nutritionnelle) et à optimiser la santé des habitants du village de Kangiqsujuaq ?
Agriculture circumpolaire
Serres nordiques
Approvisionnement local
Développement durable communautaire
Sécurité alimentaire
Éducation nutritionnelle
Santé
L'expansion rapides des villages Inuits du Nunavik entraine l'apparition de nouveaux défis significatifs en terme de sécurité alimentaire (disponibilité, coût des fruits et légumes frais; qualité de l'apport nutritionnel; santé des populations). Ce projet vise l’élaboration d’un plan de projet de serre agricole dans la communauté de Kangiqsujuaq pour (1) accroitre l'offre en produits locaux frais (2) optimiser la qualité nutritionnelle de l'alimentation (3) améliorer la santé des populations et (4) contribuer à une stratégie de développement communautaire durable (autonomie, éducation des jeunes, création d’emploi et réintégration sociale). Cette recherche transdisciplinaire est fondée sur une approche participative et collaborative dont les résultats pourront bénéficier, non seulement à ce village, mais aussi à toute communauté isolée/éloignée qui souhaite relever le défi de l'autosuffisance alimentaire. Ce projet contribuera à augmenter la résilience des communautés nordiques.