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Roxane Lavoie 2019 Sylvie Blangy Acceptabilité sociale des Mines. Regards croisés entre le Nord et le Sud. Mine arctique acceptabilité perception impact regards croisés intégration Le Nunavik accueille deux mines de Nickel (Raglan et Expo) en exploitation depuis 2000 à mi-chemin entre les villages de Kangiqsujuaq et de Saaluit. KRG, Makvik et les villages nordiques ont développé des ententes et se sont mis d'accord sur des compensations financières et un taux d’emploi Inuit à la mine. Un travail de recherche financé par l’OHMI Nunavik en 2014 en collaboration avec la compagnie Glencore (Raglan) et le NV de Kangiqsujuaq a étudié les raisons du faible taux d’emploi inuit et le fort roulement de cette main d’œuvre locale. Elle a donné la parole aux travailleurs et donné à voir le caractère "lunaire" de la vie à la mine (welcome to the Moon) et exploré les difficultés d’intégration des minorités et des femmes.
Au sud du Québec, en 2016, le FRQNT a financé trois études sur l'acceptabilité sociale des mines coordonnées par les universités de Laval, de l'UQAM et de Sherbrooke. Les enquêtes auprès des habitants du sud révèlent une connaissance très limitée des conditions de vie à la mine. Et l'éloignement d'un centre minier accentue cette ignorance.
Ce projet 2019 vise à valoriser les résultats de ces études menées au sud et au nord, à les fusionner, à rendre les résultats accessibles aux communautés du Nunavik et à prolonger les enquêtes au sud par des questions formulées par les personnes inuit concernées de près ou de loin par la mine Raglan.
L'étude sera menée par Roxane Lavoie de l'université Laval en partenariat avec Sylvie Blangy du CEFE au CNRS et avec la collaboration de Kristina Maude Bergeron de l’UQAM, de Yann Gunzburger de Mines Nancy et de He Jie de Sherbrooke. Nous souhaiterions développer un dialogue entre le Nord et le Sud du Québec sur le développement industriel du Nord, une composante forte du Plan Nunavik, sensibiliser les gens du sud aux impacts sociaux des mines dans les régions isolées du nord québécois, et étudier les conditions d’un partenariat équitable entre mines et villages de l’arctique. Ce dernier point se fera en lien avec le projet TUKTU financé par l’IPEV à Baker Lake au Nunavut.
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Véronique Coxam 2019 Thora Herrmann Niqiliriniq 2 (taking care of food) Etude des relations alimentation-environnement-Santé au Nunavik. Nouvelles stratégies pour améliorer la sécurité et la souveraineté alimentaire de demain. Système alimentaire sécurité alimentaire souveraineté alimentaire interactions humains-milieux relations santé-environnement étude d’impact cartographie sensible résilience ethnobotanique culture de plantes locales. Equipe Les travaux réalisés depuis 2015 dans le cadre de l’APR Niqiliriniq, au sein de l’OHMi Tukisik du Labex DRIIHM, sont structurés autour de deux objectifs : 1) optimisation de la sécurité alimentaire par l’amélioration des habitudes alimentaires grâce à une meilleure compréhension des déterminants alimentaires, 2) atteinte d’une souveraineté alimentaire par l’acquisition d’une autonomie, conditionnée par des approches d’ethnobotanique pour le dévelopement de la culture de plantes locales. À Kuujjuaq, du fait de la très grande popularité du projet de serre, l’espace de culture disponible est devenu insuffisant. Cette constatation a motivé l’installation, en 2018, d’un premier container hydroponique. À Kangiqsujuaq, suite à nos multiples interventions, la communauté a démarré son propre projet de jardinage communautaire.
Pour l’APR 2019, une étude d’impact des actions de sensibilisation à l’importance de la nutrition et des initiatives de jardinage sera initiée dans les deux villages. Nous concentrerons nos recherches sur la perception de l’importance de l’alimentation locale dans les représentations que se font les Nunavimmiut de leur système alimentaire actuel, et leur vision dynamique des changements des habitudes alimentaires. Dans le cadre de l’axe 2, nous poursuivrons les essais de culture en serre en testant des substrats locaux comme milieux de croissance et les conditions hydroponiques. Nous initierons une investigation de la composition des petits fruits en micronutriments, selon diverses conditions de cultures en châssis; celle-ci sera comparée à celle des baies cueillies sur le territoire. Nous complèterons notre base de données concernant les perceptions des acteurs clés des scénarios possibles d’alimentation de demain. Une consultation communautaire permettra de restituer nos résultats obtenus depuis 2015 et de définir les besoins en termes de recherche et d’action pour les années futures.
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Caroline Desbiens 2016 Jean-Louis Martin De la gestion des impacts au bien-être : activités industrielles et santé environnementale quelles relations ? Inuit bien-être santé environnementale activités industrielles impacts socio-écosystèmes aménagement du territoire Suite aux ententes réalisées entre les gouvernements du Québec et du Canada et les Inuit du Nunavik, cette région présente un cadre institutionnel unique de cogestion entre ces parties des impacts des aménagements réalisés sur le territoire. Le présent projet de recherche vise à interroger la manière dont cette cogestion prend en compte la particularité de la relation entre les populations inuit et le territoire. Par une approche questionnant la santé et le bien-être de ces populations, nous analysons les liens entre les préoccupations des populations inuit pour l'avenir et le dialogue existant actuellement autour de la mise en place de projets de développement avec un focus particulier sur les activités minières. Pour se faire, l'équipe de recherche entend en prenant part aux événements au Nunavik autour de la thématique minière analyser les modalités de prise en compte des enjeux que sont le bien-être et la santé environnementale. A la suite de ceci, un atelier participatif avec les parties prenantes de la recherche sera organisé pour mettre en discussion les résultats des observations et analyses de l'équipe de recherche et envisager les éléments du dialogue existant qui portent actuellement la prise en compte de ces enjeux et dégager des pistes d'actions nouvelles pour mieux les y intégrer. Ce projet se veut aussi comme comportant la mise en place d'un dimension comparative avec d'autres communautés autochtones arctiques impactés par le développement industriel au Nunavut et en Suède.
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Caroline Desbiens 2015 Martin Jean-Louis Mobilisations des savoirs, apprentissages et stratégies de négociation des acteurs dans la construction politique et l’aménagement des systèmes socio-écologiques : le cas des impacts miniers au Nunavik. Inuit Extraction minière Impacts Socio-écosystème Aménagement du territoire Patrimoine Partenariats équitables Recherche collaborative Les communautés arctiques doivent faire face à des changements sociaux et économiques sans précédent liés à l’industrialisation et aux perturbations climatiques. Le développement minier leur pose de nombreux défis. Elles y voient un véritable potentiel économique mais aussi des risques pour leurs modes de vie, basés aujourd’hui sur une économie mixte, entre économie salariale et activités de subsistance. Les communautés sont amenées à négocier des projets d’exploitation minière avec les compagnies industrielles et dans un même temps à mettre en place des espaces de patrimonialisation sous la forme de parcs nationaux. Ce projet se propose de répondre aux questions de plusieurs communautés du Nunavik et de l’ARK (Administration Régionale de Kativik), retenues comme prioritaires dans le programme de recherche de TUKISIK (Observatoire Homme-Milieu International (OHMI) Nunavik). Il s’agit : 1) d’étudier plus en profondeur les impacts socioéconomiques et environnementaux des aménagements sur la côte Est du Nunavik liés à l’implantation du projet Hope Advance Iron Mine (Oceanic Iron Ore Corp) et du parc national de la Baie-aux-feuilles ; 2) de développer des stratégies pour des partenariats équitables mine/communauté ; 3) et, d’accompagner le processus de patrimonialisation en cours. Pour se faire l’équipe de recherche fera notamment appel aux travaux concernant le complexe de la mine Raglan (Nickel) installé depuis 20 ans à mi-chemin entre Kangisujuaq et Salluit et celui de Qamanit‘uaq (mine d’or Agnico Eagle, 2010 et mine d’Uranium Areva, 2015) au Nunavut.
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Sylvie Blangy 2014 Thierry Rodon Comprendre les impacts socio-économiques et environnementaux de la mine Raglan sur la cohésion sociale du village de Kangiqsujuaq et les ressources naturelles. Comparaison avec Qamanit ‘uaq au Nunavut Extraction minière Impact Socio-écosystème Bien-être Santé Activité de subsistance Recherche collaborative Les communautés inuites doivent faire face à des changements sociaux et économiques sans précédent liés à l’industrialisation et aux perturbations climatiques. Le développement minier leur pose de nombreux défis. Elles y voient un véritable potentiel économique, mais aussi des risques pour leurs modes de vie, basés aujourd’hui sur une économie mixte, entre économie salariale et activités de subsistance. Les communautés sont amenées à négocier des projets d’exploitation minière avec les compagnies industrielles. Ce projet propose de répondre aux questions de la communauté de Kangiqsujuaq et de l’ARK (Administration régionale de Kativik) retenues comme prioritaires dans le programme de recherche de l’OHMI Nunavik. Il s’agit d’étudier plus en profondeur les impacts socio-économiques et environnementaux de la mine Raglan (Glencore et Canadian Royalties), de mesurer les liens entre compensations financières, formation, qualification et taux d’emploi inuit à la mine, de développer des stratégies pour des partenariats équitables mine/communauté. Le complexe de la mine Raglan (nickel) installé depuis 20 ans à mi-chemin entre Kangisujuaq et Salluit sera utilisé comme point de référence et comparé à celui de Qamanit‘uaq (mine d’or Agnico Eagle, 2010 et mine d’Uranium Areva, 2015) au Nunavut. L’équipe franco-canadienne qui s’est constituée pour répondre aux préoccupations des Nunavimmiut coordonne des études pionnières sur les impacts miniers dans plusieurs régions de l’Arctique.
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