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Armelle Decaulne
2022
Daniel Germain
La production artistique visuelle comme révélateur des mutations paysagères du Nunavik – TAKUJUQ2 (il/elle voit)
Transfert de connaissances
populations autochtones
médiation scientifique
Le projet de recherche TAKUJUQ2 résulte de l’observation de la méfiance des Nunavimmiut envers la recherche scientifique, majoritairement menée par les populations du Sud dans les communautés autochtones du Nunavik. Les efforts de vulgarisation/médiation/transmission de la plupart des scientifiques sont peu efficaces, du fait de l’inadaptation des techniques de transmission développées par le monde académique envers les populations autochtones et notre compréhension des modes d’appropriation par la culture inuit (et réciproquement, comment leur transfert peut nourrir la recherche). En cela, les recherches réalisées en arts et médiation scientifique permettent l’émergence de nouvelles idées, manière de faire, notamment pour mieux dialoguer et produire des connaissances. L’inclusion des populations autochtones est également primordiale dans ce développement scientifique, et il est absolument nécessaire de co-construire des modes de dialogue et de transfert de connaissances adaptées pour lesquels les populations autochtones sont bénéficiaires.
Les objectifs de ce projet de recherche sont pluriels, à la fois exploratoires et interactifs entre la géographie, les arts visuels et la médiation scientifique. Il s’agit d’évaluer la pertinence des arts visuels comme expressions plastiques, traducteurs, témoins des changements socio-environnementaux. Il s’agit également de développer des techniques et supports de dialogues entre chercheurs et populations autochtones afin de créer des échanges dépassant les stades d’incompréhension, de défiance ou d’absence d’intérêt. Enfin, par le biais de productions artistiques, il s’agit d’accéder à de nouvelles formes d’expression des relations que les Inuits entretiennent avec l’environnement arctique connaissant de profonds bouleversements liés aux changements climatiques mais également à la dynamique d’urbanisation croissante.
Armelle Decaulne
2020
Daniel Germain
La production artistique visuelle comme révélateur des mutations paysagères du Nunavik – TAKUJUQ (il/elle voit)
résultats scientifiques
transmission
grand public
population autochtone
Le projet de recherche résulte de l’observation d’une position méfiante de la part des Nunavimmiut concernant la recherche scientifique, majoritairement menée par les populations du Sud dans les communautés autochtones du Nunavik. Les efforts de vulgarisation / médiation / transmission de la plupart des scientifiques sont peu efficaces, du fait de l’inadaptation des techniques de transmission développées par le monde académique envers les populations autochtones et notre compréhension des modes d’appropriation par la culture inuite (et réciproquement, comment leur transfert peut nourrir la recherche). En cela, les recherches réalisées en arts permettent l’émergence de nouvelles idées, manière de faire, notamment pour mieux dialoguer et produire des connaissances. L’inclusion des populations autochtones est également primordiale dans ce développement scientifique, et il est absolument nécessaire de co-construire des modes de dialogue et de transfert de connaissances adaptées pour lesquels les populations autochtones sont bénéficiaires.
Les objectifs de ce projet de recherche sont pluriels, à la fois exploratoires et interactifs entre la géographie et les arts visuels. Il s’agit d’évaluer la pertinence des arts visuels comme expressions plastiques, traducteurs, témoins des changements socio-environnementaux. Il s’agit également de développer des techniques et supports de dialogues entre chercheurs et populations autochtones afin de créer des échanges dépassant les stades d’incompréhension, de défiance ou d’absence d’intérêt. Enfin, par le biais de productions artistiques, il s’agit d’accéder à de nouvelles formes d’expression des relations que les Inuits entretiennent avec l’environnement arctique connaissant de profonds bouleversements liés aux changements climatiques mais également à la dynamique d’urbanisation croissante.
Armelle Decaulne
2019
Najat Bhiry
MOuvements de VErsants au NUNAVIK : aléas et risques – MOVE3-NUNAVIK
Pentes
Géo-processus
Aléas
Risque
Population
Depuis 4 ans, nous étudions « le paysage en changement » des villages et parcs du Nunavik situés à proximité de hauts reliefs dont les versants enregistrent de fréquents mouvements gravitaires. La documentation de la mise en place des modelés créés, leur dynamique et les risques que l’aléa fait peser sur une population locale en constante croissance et des touristes plus nombreux au sein des parcs est requise. Cette hausse démographique et de touristes a conduit à une expansion urbaine sans précédent. La construction accélérée d’habitations et d’infrastructures linéaires (routes, sentiers, piste d’atterrissage) constitue un des objectifs du Plan Nord publié en 2011 et de Parnasimautik (plan Nunavik) en 2014.
Le projet MOVE3-NUNAVIK s’inscrit dans l’axe 4 des recherches menées par l’OHMi NUNAVIK. Il poursuit l’effort entrepris visant à améliorer la connaissance des géodynamiques de pente et leur activité pendant le court terme dans un contexte de réchauffement climatique. Le second objectif est la caractérisation de l’aléa et des situations de vulnérabilité, afin d’être en mesure de définir et de quantifier le risque que représentent les aléas gravitaires. Pour atteindre ces objectifs, nous privilégions une méthodologie fondée à la fois sur des travaux de terrain en géomorphologie et stratigraphie et sur des analyses en laboratoire (datations, sédimentologie, dendrochronologie, paléoécologie) et à partir d’images satellites et des statistiques ; des entrevues avec les responsables locaux sont aussi envisagées pour compéter nos observations de terrain. Nous favorisons ici la formation en M1 et M2 en encadrant les stages.
Armelle Decaulne
2018
Najat Bhiry
MOuvements de VErsants au NUNAVIK : aléas et risques – MOVE2-NUNAVIK
pentes
géo-processus aléas
risque
population
Depuis 3 ans, nous étudions « le paysage en changement » des villages et parcs du Nunavik situés à proximité de hauts reliefs dont les versants enregistrent de fréquents mouvements gravitaires. La documentation de la mise en place des modelés créés, leur dynamique et les risques que l’aléa fait peser sur une population locale en constante croissance et des touristes plus nombreux au sein des parcs est requise. Cette hausse démographique et de touristes a conduit à une expansion urbaine sans précédent. La construction massive accélérée d’habitations et d’infrastructures constitue un des objectifs du Plan Nord publié en 2011 et de Parnasimautik (plan Nunavik) en 2014.
Le projet MOVE2-NUNAVIK poursuit l’effort entrepris visant à améliorer la connaissance des géodynamiques de pente et leur activité pendant le court terme dans un contexte de réchauffement climatique. Le second objectif est la caractérisation de l’aléa et des situations de vulnérabilité, afin d’être en mesure de définir et de quantifier le risque que représentent les aléas gravitaires. Pour atteindre ces objectifs, nous privilégions une méthodologie fondée à la fois sur des travaux de terrain en géomorphologie et stratigraphie et sur des analyses en laboratoire (datations, sédimentologie, dendrochronologie, paléoécologie) et à partir d’images satellitales et des statistiques. L’ensemble des données ainsi acquises sera confronté aux savoirs des Aînés Inuits des villages dans le cadre d’entrevues semi-dirigées, grâce à la collaboration avec le projet NUNA mené par Fabienne Joliet et Laine Chanteloup à Umiujaq, et par une approche anthropologique et en géographie historique à Kangiqsualulluaq.
Armelle Decaulne
2017
Najat Bhiry
MOuvements de VErsants au NUNAVIK : aléas et risques - MOVE-NUNAVIK
pentes
géoprocessus
aléas
risque
population
Plusieurs villages et parcs de Nunavik (nord du Québec, Canada) sont situés à proximité de hauts reliefs dont les versants enregistrent de fréquents mouvements gravitaires. La documentation de la mise en place des modelés créés, leur dynamique et les risques que l’aléa fait peser sur une population locale en constante croissance et des touristes de plus en plus nombreux au sein des parcs est requise. Le premier objectif du projet MOVE-NUNAVIK vise à améliorer la connaissance des géodynamiques de pente et leur activité sur le long terme, le moyen et le court terme dans un contexte de réchauffement climatique. Le second objectif est la caractérisation de l’aléa et des situations de vulnérabilité, afin d’être en mesure de définir et de quantifier le risque que représentent les aléas gravitaires. Pour atteindre ces objectifs, nous privilégions une méthodologie fondée à la fois sur des travaux de terrain en géomorphologie et stratigraphie et sur des analyses en laboratoire (datations, sédimentologie, dendrochronologie, paléoécologie). L’ensemble des données ainsi acquises sera confronté aux savoirs des Aînés Inuits des communautés dans le cadre d’entrevues semi-dirigées. Les questions porteront sur les possibles occurrences des processus gravitaires et sur la perception de leurs impacts.
André Ravel
2017
Suzanne Bastian
Recherche/action sur la santé et le bien-être des Inuits à l’interface Inuit-chien-environnement
Inuit
Chien
Environnement
Santé
Bien-être
Ecosanté
Peur
Attaque
Morsure
Rage
Parasitisme
Surpopulation
Tension sociale
Partie intégrante de l'environnement physique, social et culturel des Inuits, les chiens représentent une source de bien-être pour eux mais également une menace pour le bien-être et la santé des habitants des communautés nordiques du Québec. Dans la prévention de problèmes de santé associés aux chiens au Nunavik, il est fondamental de reconnaître et de comprendre ensemble la perspective inuite actuelle et celles des autres acteurs notamment en regard de l’impact positif sur la santé et le bien-être que représente le chien à l’interface Inuit-environnement. S’appuyant sur une approche écosanté et sur le principe du «double regard», le projet de recherche vise à mieux connaitre les liens entre les chiens et la santé et le bien-être des habitants de Kuujjuaq et à atténuer les problèmes à l’interface Inuit-chien-environnement tout en optimisant le bien-être.
André Ravel
2016
Suzanne Bastian
Recherche/action sur la santé et le bien-être des Inuits à l’interface Inuit-chien-environnement
Inuit
Chien
Environnement
Santé
Bien-être
Écosanté
Peur
Attaque
Morsure
Rage
Parasitisme
Surpopulation
Tension sociale
Partie intégrante de l'environnement physique, social et culturel des Inuits, les chiens représentent une source de bien-être pour eux mais également une menace pour le bien-être et la santé des habitants des communautés nordiques du Québec. Dans la prévention de problèmes de santé associés aux chiens au Nunavik, il est fondamental de reconnaître et de comprendre ensemble la perspective inuit actuelle et celles des autres acteurs sur l’impact positif sur la santé et le bien-être que représente le chien à l’interface Inuit-environnement. En application de l’approche écosanté et du principe du «double regard», le projet de recherche vise à mieux connaitre les liens entre les chiens et la santé et le bien-être des habitants de Kuujjuaq et à atténuer les problèmes à l’interface Inuit-chien-environnement tout en optimisant le bien-être.
André Ravel
2015
Suzanne Bastian
Recherche-action sur la santé et le bien-être des Inuits à l’interface Inuit-chien-environnement
Inuit
chien
environnement
santé
bien-être
écosanté
peur
attaque
morsure
rage
parasitisme
surpopulation
tension sociale
Partie intégrante de l'environnement physique, social et culturel des Inuits, les chiens représentent une source de bien-être pour eux, mais également une menace à ce dernier et à la santé des habitants des communautés nordiques du Québec. Dans la prévention de problèmes de santé associés aux chiens au Nunavik, il est fondamental de reconnaître et de comprendre ensemble la perspective inuite actuelle de l’impact sur la santé et le bien-être que représente le chien à l’interface Inuit-environnement. En application de l’approche écosanté et du principe du double regard, le projet de recherche vise à mieux connaitre les liens entre les chiens et la santé et le bien-être des habitants de Kuujjuaq et à atténuer les problèmes à l’interface Inuit-chien-environnement tout en optimisant le bien-être à cette interface.