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Stéphane Gibout 2020 Didier Haillot SIQINIQ4 : Développement de serres horticoles au Nunavik => Aspects énergétiques Energies renouvelable Efficacité énergétique Développement communautaire durable Approvisionnement local Agriculture circumpolaire Vivant sur des territoires isolés où aucune route terrestre ne permet de se rendre, les Inuits du Nord canadien font face, depuis les dernières décennies, à de grands défis d’adaptation, notamment sur le plan de l'accès à l'énergie. Étant hors réseaux électriques, les communautés sont extrêmement dépendantes des produits pétroliers pour leur production électrique et thermique provenant, respectivement, de génératrices diesel et de la combustion du mazout.
L'implantation de moyen de production énergétique renouvelable constitue une alternative afin de produire de l’énergie « propre » réduisant ainsi le recours aux énergies fossiles. Cependant, avant d’envisager le recours à ces sources d’énergie coûteuses en investissement, une phase d’optimisation énergétique est nécessaire afin de réduire les consommations.
Le projet SIQINIQ4 est porté par le laboratoire LaTEP de Pau en collaboration avec l’ÉTS de Montréal et l’INRS de Québec. Il s'agit de la suite des projets SEQINEQ, SEQINEQ’, SEQINEQ2 et SIQINIQ3* dont les perspectives particulièrement importantes concernant la serriculture ont entraîné une focalisation des recherches sur ce sujet. Ces travaux cadrent avec la programmation de la Chaire de recherche sur le potentiel géothermique du Nord à l’INRS et soutenue par l’Institut nordique du Québec (INQ). Les travaux proposés à l’OHMI sont aussi complémentaires à différents projets de l’INRS pour évaluer le potentiel géothermique des territoires nordiques et financés par le Fonds Nouvelles Frontière en recherche et INQ-Sentinelle Nord.
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Véronique Coxam 2020 Danielle CLOUTIER U-SCAN (Umiujaq – Systèmes & ContaminANts) contaminants socio-écosystème Nunavik systèmes hydrologiques eaux de surface Le projet U-SCAN étudie les contaminants et processus de contamination dans un bassin versant subarctique situé près du village Umiujaq (au sud-ouest du Nunavik, Canada). Pour les Inuit, le phénomène de contamination est polysémique, décrivant les changements du milieu de vie inuit perturbé par un élément extérieur. Le bassin à l’étude est délimité par des hauts versants et drainé par la rivière Umiujaq ; il constitue un des endroits les plus prisés par la communauté tant pour la chasse que la pêche, la cueillette des petits fruits et les activités récréatives. Mais aussi, il héberge dans sa section aval, le bassin de rétention d’eau et le dépotoir du village. À Umiujaq, la population s’approvisionne en eau potable uniquement par les eaux de surface. Or, en plus de la pollution potentielle issue du dépotoir, les eaux de rivières subissent une augmentation de la turbidité sans précédent, liée à la dégradation du pergélisol causée par les changements climatiques récents. Les stocks piscicoles sont menacés à cause de la turbidité et des contaminants chimiques transportés notamment par les sédiments qui s’accumulent dans la chaîne alimentaire aquatique, donc dans la nourriture privilégiée des Inuit. Ce projet vise, grâce à une approche multidisciplinaire de type participative, associant les sciences humaines, la chimie et la toxicologie et les sciences de l’environnement (géomorphologie, hydrologie et hydrogéologie, sédimentologie, géochimie) à caractériser le danger lié à différents types de contaminants, dans le but de proposer aux populations autochtones des outils d’aide à la décision.
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Roxane Lavoie 2019 Sylvie Blangy Acceptabilité sociale des Mines. Regards croisés entre le Nord et le Sud. Mine arctique acceptabilité perception impact regards croisés intégration Le Nunavik accueille deux mines de Nickel (Raglan et Expo) en exploitation depuis 2000 à mi-chemin entre les villages de Kangiqsujuaq et de Saaluit. KRG, Makvik et les villages nordiques ont développé des ententes et se sont mis d'accord sur des compensations financières et un taux d’emploi Inuit à la mine. Un travail de recherche financé par l’OHMI Nunavik en 2014 en collaboration avec la compagnie Glencore (Raglan) et le NV de Kangiqsujuaq a étudié les raisons du faible taux d’emploi inuit et le fort roulement de cette main d’œuvre locale. Elle a donné la parole aux travailleurs et donné à voir le caractère "lunaire" de la vie à la mine (welcome to the Moon) et exploré les difficultés d’intégration des minorités et des femmes.
Au sud du Québec, en 2016, le FRQNT a financé trois études sur l'acceptabilité sociale des mines coordonnées par les universités de Laval, de l'UQAM et de Sherbrooke. Les enquêtes auprès des habitants du sud révèlent une connaissance très limitée des conditions de vie à la mine. Et l'éloignement d'un centre minier accentue cette ignorance.
Ce projet 2019 vise à valoriser les résultats de ces études menées au sud et au nord, à les fusionner, à rendre les résultats accessibles aux communautés du Nunavik et à prolonger les enquêtes au sud par des questions formulées par les personnes inuit concernées de près ou de loin par la mine Raglan.
L'étude sera menée par Roxane Lavoie de l'université Laval en partenariat avec Sylvie Blangy du CEFE au CNRS et avec la collaboration de Kristina Maude Bergeron de l’UQAM, de Yann Gunzburger de Mines Nancy et de He Jie de Sherbrooke. Nous souhaiterions développer un dialogue entre le Nord et le Sud du Québec sur le développement industriel du Nord, une composante forte du Plan Nunavik, sensibiliser les gens du sud aux impacts sociaux des mines dans les régions isolées du nord québécois, et étudier les conditions d’un partenariat équitable entre mines et villages de l’arctique. Ce dernier point se fera en lien avec le projet TUKTU financé par l’IPEV à Baker Lake au Nunavut.
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Jean-Pierre Dedieu 2019 Esther Lévesque, Professeure, Université du Québec à Trois Rivières (UQTR) Dynamique de la végétalisation arbustive et impact sur les ressources pour les communautés dans le bassin versant de la rivière George (Projet Aquabio/Imalirijiit). Climat Environnement Végétation Alimentation Ce projet d’étude des dynamiques végétales dans le bassin versant de la rivière George (42 000 km2) au Nunavik a pour objectif précis la discrimination par télédétection spatiale optique des landes ligneuses basses dominées par les Ericacées et leur cartographie, dans un souci de disponibilité des petits fruits pour les communautés. En effet, une augmentation globale de la productivité végétale a été observée sur les 30 dernières années dans les écosystèmes de haute latitude. Notre étude récente sur ce bassin par télédétection Landsat 1985-2015 confirme cette nette tendance (Housset et al, 2019), tout particulièrement pour les secteurs de toundra arctique (village de Kangiqsualujuuaq). Les formations arbustives basses (bouleau) progressent au détriment des plantes à petits fruits (baies comestibles). Une méthode nouvelle d'indice spectral (NARI) est proposée sur images du satellite Sentinel-2, afin de discriminer et quantifier ces plantes Ericacées par rapport aux autres formations végétales du bassin versant. Ce projet découle d’une collaboration depuis 2016 entre l'Université de Grenoble, l'UQTR, et UMontréal dans le cadre de l'APR "Aquabio/Imalirijiit" de l'OHMI-Nunavik. Les résultats novateurs obtenus seront bénéfiques à la fois pour la communauté scientifique appliquant sur les milieux arctiques et pour les communautés locales.
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Armelle Decaulne 2019 Najat Bhiry MOuvements de VErsants au NUNAVIK : aléas et risques – MOVE3-NUNAVIK Pentes Géo-processus Aléas Risque Population Depuis 4 ans, nous étudions « le paysage en changement » des villages et parcs du Nunavik situés à proximité de hauts reliefs dont les versants enregistrent de fréquents mouvements gravitaires. La documentation de la mise en place des modelés créés, leur dynamique et les risques que l’aléa fait peser sur une population locale en constante croissance et des touristes plus nombreux au sein des parcs est requise. Cette hausse démographique et de touristes a conduit à une expansion urbaine sans précédent. La construction accélérée d’habitations et d’infrastructures linéaires (routes, sentiers, piste d’atterrissage) constitue un des objectifs du Plan Nord publié en 2011 et de Parnasimautik (plan Nunavik) en 2014.
Le projet MOVE3-NUNAVIK s’inscrit dans l’axe 4 des recherches menées par l’OHMi NUNAVIK. Il poursuit l’effort entrepris visant à améliorer la connaissance des géodynamiques de pente et leur activité pendant le court terme dans un contexte de réchauffement climatique. Le second objectif est la caractérisation de l’aléa et des situations de vulnérabilité, afin d’être en mesure de définir et de quantifier le risque que représentent les aléas gravitaires. Pour atteindre ces objectifs, nous privilégions une méthodologie fondée à la fois sur des travaux de terrain en géomorphologie et stratigraphie et sur des analyses en laboratoire (datations, sédimentologie, dendrochronologie, paléoécologie) et à partir d’images satellites et des statistiques ; des entrevues avec les responsables locaux sont aussi envisagées pour compéter nos observations de terrain. Nous favorisons ici la formation en M1 et M2 en encadrant les stages.
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Véronique Coxam 2019 Thora Herrmann Niqiliriniq 2 (taking care of food) Etude des relations alimentation-environnement-Santé au Nunavik. Nouvelles stratégies pour améliorer la sécurité et la souveraineté alimentaire de demain. Système alimentaire sécurité alimentaire souveraineté alimentaire interactions humains-milieux relations santé-environnement étude d’impact cartographie sensible résilience ethnobotanique culture de plantes locales. Equipe Les travaux réalisés depuis 2015 dans le cadre de l’APR Niqiliriniq, au sein de l’OHMi Tukisik du Labex DRIIHM, sont structurés autour de deux objectifs : 1) optimisation de la sécurité alimentaire par l’amélioration des habitudes alimentaires grâce à une meilleure compréhension des déterminants alimentaires, 2) atteinte d’une souveraineté alimentaire par l’acquisition d’une autonomie, conditionnée par des approches d’ethnobotanique pour le dévelopement de la culture de plantes locales. À Kuujjuaq, du fait de la très grande popularité du projet de serre, l’espace de culture disponible est devenu insuffisant. Cette constatation a motivé l’installation, en 2018, d’un premier container hydroponique. À Kangiqsujuaq, suite à nos multiples interventions, la communauté a démarré son propre projet de jardinage communautaire.
Pour l’APR 2019, une étude d’impact des actions de sensibilisation à l’importance de la nutrition et des initiatives de jardinage sera initiée dans les deux villages. Nous concentrerons nos recherches sur la perception de l’importance de l’alimentation locale dans les représentations que se font les Nunavimmiut de leur système alimentaire actuel, et leur vision dynamique des changements des habitudes alimentaires. Dans le cadre de l’axe 2, nous poursuivrons les essais de culture en serre en testant des substrats locaux comme milieux de croissance et les conditions hydroponiques. Nous initierons une investigation de la composition des petits fruits en micronutriments, selon diverses conditions de cultures en châssis; celle-ci sera comparée à celle des baies cueillies sur le territoire. Nous complèterons notre base de données concernant les perceptions des acteurs clés des scénarios possibles d’alimentation de demain. Une consultation communautaire permettra de restituer nos résultats obtenus depuis 2015 et de définir les besoins en termes de recherche et d’action pour les années futures.
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Laine Chanteloup 2019 Fabienne Joliet et Thora Herrmann Nuna selon la jeunesse nunavimmiut : filmer son territoire et son environnement « urbain ». Kuujuaq Territorialités inuit Jeunesse nunavimmiut Urbanité Vidéo Perceptions Représentations Les travaux engagés dans l’APR NUNA de l’OHM Tukisik visent à éclairer par les images et les mots inuit ce que recouvre aujourd’hui nuna au Nunavik (territoire en Inuktitut), à identifier les territorialités inuit qui se dessinent entre tradition et altérité, et analyser comment au sein d’un même territoire différents modes de naturalités coexistent et se combinent. C’est à travers la création iconographique de la jeunesse inuit que l’interaction Société-Environnement autochtone et son évolution est interrogée. L’outil vidéo est utilisé pour engager une réflexion autour de nuna avec les adolescents inuit, futurs gouvernants, et promouvoir leur souveraineté narrative et iconographique. Ce projet de recherche-création vise à compléter les réflexions menées autour de nuna lors des précédents ateliers vidéos qui interrogeaient notamment le rapport dialogique cultures Inuit / altérité occidentale selon un gradient sud-nord en fonction de la localisation des communautés et de leur proximité avec les influences du « Sud ». C’est l’hypothèse d’un gradient d’urbanité lié aux foyers de regroupement de populations qui est cette fois interrogée en concentrant la recherche sur le sens de Nuna au sein du pôle urbanisé qu'est « la capitale » du Nunavik, Kuujjuaq. L’émigration croissante subie ou choisie vers ce pôle urbain fait émerger de nouvelles territorialités inuit susceptibles de modifier et de complexifier le sens donné au territoire et à l’environnement inuit contemporain.
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Stéphane Gibout 2019 Jasmin Raymond SIQINIQ3 : Développement de serres horticoles au Nunavik => Aspects énergétiques Energies renouvelables Efficacité énergétique Développement communautaire durable Approvisionnement local Agriculture circumpolaire Géographie Vivant sur des territoires isolés où aucune route terrestre ne permet de se rendre, les Inuit du Nord canadien font face, depuis les dernières décennies, à de grands défis d’adaptation, notamment sur le plan de l'accès à l'énergie. Étant hors réseaux électriques, les communautés sont extrêmement dépendantes des produits pétroliers pour leur production électrique et thermique provenant, respectivement, de génératrices diesel et de la combustion du mazout.
L'implantation de moyen de production énergétique renouvelable constitue une alternative afin de produire de l’énergie « propre » réduisant ainsi le recours aux énergies fossiles. Cependant, avant d’envisager le recours à ces sources d’énergie coûteuses en investissement, une phase d’optimisation énergétique est nécessaire afin de réduire les consommations.
Le projet SIQINIQ3* est porté par quatre institutions, deux françaises (le laboratoire LaTEP de Pau et le laboratoire PROMES de Perpignan) et deux Québécoises (l’INRS à Québec et l'ÉTS de Montréal). Il s'agit de la suite des projets SEQINEQ, SEQINEQ’ et SEQINEQ2 dont les perspectives particulièrement importantes concernant la serriculture ont entrainé une focalisation des recherches sur ce sujet. Ces travaux cadrent avec la programmation de la Chaire de recherche sur le potentiel géothermique du Nord à l’INRS et soutenue par l’Institut nordique du Québec.
SIQINIQ3 repose sur trois principaux axes de recherche, soit : (1) la mise au point d’une instrumentation spécifique ; (2) le développement d’un modèle numérique ; (3) le partage des connaissances et des données.
(*) Le nom du projet a évolué de SEQINEQ à SIQINIQ par respect pour l'Inuktitut.
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Jean-Pierre Dedieu 2018 Jan Franssen, Professeur, Université de Montréal (UdM) Consolidation et valorisation scientifique du projet Aquabio au Nunavik : qualité des eaux et dynamique temporelle des changements environnementaux par télédétection spatiale. Environnement Hydrologie Qualité des eaux Ecologie végétale Télédétection Géomatique Suivi communautaire. Le bassin versant de la rivière George (Nunavik, Québec) offre un site unique pour un projet transdisciplinaire OHM. Le programme de biosurveillance aquatique sur la rivière George, AQUABIO, a été initié en 2016 et renouvelé en 2017 en tant que projet-pilote, suite à une demande de la communauté de Kangiqsualujjuaq (Nunavik). Pour ce faire, deux camps de Science ont été mis en place (juillet 2016 et 2017). Chaque session a eu pour double mandat (i) une formation des jeunes autochtones aux techniques de la science et (ii) une collecte rigoureuse d’échantillons destinés à l’évaluation de plusieurs grandeurs physiques mesurables sur la qualité de l’eau : concentration en chlorophylle, contaminants, pH, conductivité… Les analyses ont impliqués plusieurs laboratoires partenaires : Université de Montréal (Biologie, Géographie, Chimie), Université du Québec à Trois-Rivières, CNRS en France. Les résultats sont disponibles dans les rapports annuels d’activité du projet. L’objectif de la présente demande est de promouvoir les analyses et résultats obtenus plus spécifiquement grâce à la télédétection spatiale pour ce projet. En premier lieu optimiser la valorisation des traitements et analyses obtenus en télédétection sur la qualité de l’eau : conférences et publication dans revue rang A indexée. En second lieu, ouvrir un nouveau champ disciplinaire nécessaire au projet global. A savoir accompagner un postdoctorat OHM dédié en 2018 pour l’étude par télédétection des modifications de la végétation et ses conséquences sur les populations locales (ressources alimentaires naturelles) : mission de terrain, publications. Ce volet écologique est primordial pour mieux comprendre l'impact climatique en Arctique.
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Véronique Coxam 2018 Thora Hermann Food System/ Niqilirinik (looking for food): Les relations alimentation-environnement-santé au Nunavik et les pistes de solutions pour la sécurité et la souveraineté alimentaire de demain. Système alimentaire souveraineté alimentaire interactions humains-milieux relations santé-environnement cartographie interactive résilience À Kuujjuaq, le projet de serre communautaire aura bientôt 10 ans et sa popularité ne cesse d’augmenter, si bien que l’espace disponible est devenu insuffisant face au nombre croissant de jardiniers. À Kangiqsujuaq, la communauté a exprimé le souhait de démarrer son propre projet de jardinage communautaire et notre équipe accompagne ce processus depuis 2015. Dans ces deux villages, nous souhaitons saisir ces initiatives de production locale comme une opportunité pour réfléchir avec la communauté sur l’ensemble du système alimentaire, incluant les défis relatifs aux différentes sources d’approvisionnement et les facteurs qui favorisent ou contrecarrent la souveraineté alimentaire sur ce territoire. Dans l’Arctique, la transformation drastique du mode de vie a fait perdre à ses habitants une partie importante du contrôle qu’ils peuvent exercer sur l’offre alimentaire, ainsi que l’accès à la connaissance des aliments nouvellement introduits dans leur paysage nutritionnel. À travers les cas de Kuujjuaq et de Kangiqsujuaq, nous nous pencherons sur les représentations que se font les résidents du Nunavik de leur système alimentaire actuel et sur les failles et pistes de solutions qu’ils peuvent identifier, afin d’améliorer l’accès à une alimentation satisfaisante pour leur santé et leur bien-être. Si le jardinage nordique est considéré comme une démarche innovante, nous nous demanderons dans quelle mesure le développement d’une production locale d’aliments peut-elle véritablement contribuer à la souveraineté alimentaire du Nunavik ? Nous nous questionnerons également sur les scénarios du futur envisageables pour ce type de production et son rôle à jouer dans une stratégie alimentaire holistique?
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