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Basculer 2022 ( 1 )
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Laurent Godet 2022 Nicolas Lecomte Paysages animaux, paysages humains Faune Biodiversité Activité Déplacement Piège photographique Capteur sonore Les animaux ont dû apprendre à vivre dans des paysages de plus en plus habités par les humains. Beaucoup d’espèces de mammifères et d’oiseaux ont ajusté leur activité dans le temps (en devenant plus nocturnes par exemple) mais aussi dans l’espace (en utilisant des zones refuges moins dérangées par les humains). Toutefois, la plupart des études mesurant l’impact de la présence humaine sur la distribution spatiale et temporelle des animaux a été menée dans des matrices paysagères ponctuées de rares espaces naturels. Ce projet prend le contrepied de cette tendance en étudiant un paysage très largement naturel où la présence permanente des humains se cantonne à de petits villages et leur présence temporaire aux itinéraires fréquentés habituellement en bateaux, quatre roues ou encore ski-doos. Par une analyse des données issues d’un réseau de pièges photographiques et des capteurs sonores à distance grandissante des lieux de présence humaine, nous cherchons à mesurer dans le temps et dans l’espace si les oiseaux et les mammifères évitent ou non la présence des humains dans le temps (rythme d’activité) et dans l’espace (distribution spatiale).
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Basculer 2016 ( 2 )
Pas d'enregistrements
Armelle Decaulne 2016 Najat Bhiry Aléas GravItaiRes dans le Parc national Tursujuq, lieu de prédilection pour les activités traditionnelles autochtones et le tourisme environnemental – AGIR Parc national Tursujuq glissements de terrain coulées de débris avalanches chutes de pierre rythmes d’activité longueur de parcours calendrier d’occurrence aléas vulnérabilité changements climatiques Les pentes du parc national de Tursujuq (Nunavik, Canada) présentent des dénivelés suffisants pour générer des processus gravitaires : chutes de blocs, glissements de terrain, coulées de débris, avalanches. Les pentes des îles du lac à l’Eau-Claire, les cuestas d’Umiujaq et toutes celles du parc sont soumises à tous ces aléas gravitaires depuis la disparition des glaces, il y a 6000 ans. Le projet AGIR exploite le potentiel de datations relatives et absolues des petits bassins-versants du parc : analyse stratigraphique d’archives naturelles de l’évolution holocène des aléas gravitaires grâce aux nombreuses zones de piégeage où le matériel issu de l’activité géomorphologique sur les pentes s’est accumulé. La reconnaissance des processus géomorphologique et de leur répartition temporelle sur le long terme se fera à partir de carottes sédimentaires effectuées dans les zones distales, tandis que l’activité des derniers siècles sera documentée par la dendrogéomorphologie des épinettes noires déformées déjà observées sur les talus lors de la mission d’observation de l’été 2015.
Le but ultime du projet AGIR est de caractériser la vulnérabilité au sein du parc national Tursujuq. Celui-ci est visité par les touristes et utilisé par les communautés autochtones de Kuujjuarapik-Whapmagoostui et d’Umiujaq. AGIR fonctionnera en parallèle du projet PARC qui recense les pratiques au sein du parc, autant celle des populations autochtones (dont la circulation est libre au sein du territoire de Tursujuq) que celles des visiteurs exogènes (dont la circulation est contrôlée par les autorités du parc).
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Caroline Desbiens 2016 Jean-Louis Martin De la gestion des impacts au bien-être : activités industrielles et santé environnementale quelles relations ? Inuit bien-être santé environnementale activités industrielles impacts socio-écosystèmes aménagement du territoire Suite aux ententes réalisées entre les gouvernements du Québec et du Canada et les Inuit du Nunavik, cette région présente un cadre institutionnel unique de cogestion entre ces parties des impacts des aménagements réalisés sur le territoire. Le présent projet de recherche vise à interroger la manière dont cette cogestion prend en compte la particularité de la relation entre les populations inuit et le territoire. Par une approche questionnant la santé et le bien-être de ces populations, nous analysons les liens entre les préoccupations des populations inuit pour l'avenir et le dialogue existant actuellement autour de la mise en place de projets de développement avec un focus particulier sur les activités minières. Pour se faire, l'équipe de recherche entend en prenant part aux événements au Nunavik autour de la thématique minière analyser les modalités de prise en compte des enjeux que sont le bien-être et la santé environnementale. A la suite de ceci, un atelier participatif avec les parties prenantes de la recherche sera organisé pour mettre en discussion les résultats des observations et analyses de l'équipe de recherche et envisager les éléments du dialogue existant qui portent actuellement la prise en compte de ces enjeux et dégager des pistes d'actions nouvelles pour mieux les y intégrer. Ce projet se veut aussi comme comportant la mise en place d'un dimension comparative avec d'autres communautés autochtones arctiques impactés par le développement industriel au Nunavut et en Suède.
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Basculer 2014 ( 2 )
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Sylvie Blangy 2014 Thierry Rodon Comprendre les impacts socio-économiques et environnementaux de la mine Raglan sur la cohésion sociale du village de Kangiqsujuaq et les ressources naturelles. Comparaison avec Qamanit ‘uaq au Nunavut Extraction minière Impact Socio-écosystème Bien-être Santé Activité de subsistance Recherche collaborative Les communautés inuites doivent faire face à des changements sociaux et économiques sans précédent liés à l’industrialisation et aux perturbations climatiques. Le développement minier leur pose de nombreux défis. Elles y voient un véritable potentiel économique, mais aussi des risques pour leurs modes de vie, basés aujourd’hui sur une économie mixte, entre économie salariale et activités de subsistance. Les communautés sont amenées à négocier des projets d’exploitation minière avec les compagnies industrielles. Ce projet propose de répondre aux questions de la communauté de Kangiqsujuaq et de l’ARK (Administration régionale de Kativik) retenues comme prioritaires dans le programme de recherche de l’OHMI Nunavik. Il s’agit d’étudier plus en profondeur les impacts socio-économiques et environnementaux de la mine Raglan (Glencore et Canadian Royalties), de mesurer les liens entre compensations financières, formation, qualification et taux d’emploi inuit à la mine, de développer des stratégies pour des partenariats équitables mine/communauté. Le complexe de la mine Raglan (nickel) installé depuis 20 ans à mi-chemin entre Kangisujuaq et Salluit sera utilisé comme point de référence et comparé à celui de Qamanit‘uaq (mine d’or Agnico Eagle, 2010 et mine d’Uranium Areva, 2015) au Nunavut. L’équipe franco-canadienne qui s’est constituée pour répondre aux préoccupations des Nunavimmiut coordonne des études pionnières sur les impacts miniers dans plusieurs régions de l’Arctique.
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Fabienne Joliet 2014 Vivre le territoire : comprendre les territorialités inuit au sein du parc national des Pingualuit Attachement aux lieux Espace protégé Territorialité inuit Activités traditionnelles Recherche participative Depuis la fin des années 1990, la région de l’Ungava au Nunavik connaît de profonds changements en termes d’aménagement du territoire avec le développement de territoires contigüs aux exploitations minières et d’espaces protégés. Cela amène les communautés Inuit à s’adapter et transformer leurs liens au territoire afin de prendre en compte ces multiples aménagements, ceci d’autant que le Nunavik est régit par un système original de co-gouvernance. Ce projet de recherche vise à approfondir les connaissances développées autour de la notion d’attachement aux lieux, en analysant comment les Inuit investissent le territoire qui correspond à celui du récent parc national des Pingualuit et sa proche périphérie. Ce projet s’appuie sur la mise en place d’une recherche participative avec la communauté de Kangiqsujuaq afin de construire de manière conjointe les questionnements et la méthodologie pour la collecte de donnée.
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